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Faut-il que l'amour, si doux en apparence, soit si tyrannique et si cruel à l'épreuve ?
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Faut-il que l'amour, si doux en apparence, soit si tyrannique et si cruel à l'épreuve ?
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10 mai 2010

Chapitre 11

recherche                                Chapitre 11:

Le matin, je me réveillée,  fit ma toilette en vitesse, descendis les escalier en courants et me dirigea vers la cuisine pour prendre mon petit déjeuner. Je manger mes céréales en 30 secondes et prit mon verre de jus d'orange. Je remontée les marches, prit mon sac, bus une gorgée de ce délicieux jus, redescendis les marches. J'attrapais ma veste, terminée ma boisson et posée la verre sur le buffet de l'entrée. Je voulut partir vers ma voiture, mais mon père m'attrapa par le bras:

- Où tu vas comme ça, me dit-il.

- je vais...je...je...j'ais...un rendez-vous avec... des copins, dis-je confuse. 

Pourvu qu'il ne discute pas trop, je suis pressée.

- Je peut t'emmener, je ne commence que dans une heure, attaqua t'il.

- Baaaaaaaaaaaaaaaaaaaah oui, bonne idée, conclus ais-je.

Je filai vers la voiture, ouvrit la portière et  priais pour que mon père se dépéche. Je lui donnais la destination: La Push, près de Forks. Il conduisit normalement, pas trop vite, pas trop lentement. Mais je priais pour qu'il avance.

Arrivés, il me déposa et repartir immédiatement car il était un peu en retard.

Je me dirigeais vers la porte. Je frappais. Jacob, lui-même vint m'ouvrir.

- Oh, Salut Juliette, dit-il, étonné.

- Il faut que je te parle. Je...Je sais que Jasper n'est pas humain, et je sais aussi que tu sais qui il est vraiment, dis-je d'une traite. J'avais assez attendue et j'attendais sa réponse avec impatience.

- J'en sais rien moi. Pourquoi ne serais t'il pas humain, dit'il d'un air faussement amnésique.

Oh, il allais encore nous faire son numéro longtemps. Je le fussilait donc du regard.

- En fait, si je sais mais...mais je ne m'en souviens plus.

Mais bien sûr qu'il s'en souvenais, mais il ne voulais pas me le dire. Je décidais donc d'employais les grands moyens. Je voulais avoir ma réponse. Je me mis donc sur la pointe des pieds, tirais Jacob par les épaules et posais mes lèvres sur les siennes. Au contact de ses lèvres chaudes, je sursautais. Ses mains vouluretn attrapaient mes hanches, mais je le repousais.

- Alors tu te souviens maintenant, dis-je.

- Ben, oui, mais je peut toujours pas te le dire. C'est trop dangereux, menti t-il.

Je levais le bras et lui en mettais une. Puis je partis en courant, mais je me souvenais que mon père m'avais amenée. Je n'allais comme même pas rentée à pied. Mon regard fit le tour du paysage et il tomba sur une moto. Je courus vers cette engin qui m'était interdit par mes parents.

- Attends Juliette, reviens, cria Jacob.

Mais je ne l'écoutais plus. J'enfourchais la machine, enlevais la béquille et démarrait le contact.

- Eh! Ton casque, cria t-il.

 C'était le ponpon. Je ne savais pas faire de la moto, qui m'étais interdite, et je ne mettais même pas de casque. Si je finissais à l'hôpital, se serais ma fin. Je pris donc la route de Seattle. Direction:Magalie, mon amie. Je fis du 150km au moins. J'étais effrayée, mais, sinon, tous allais bien.

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